Durant le cours, nous avons
également visionné le vidéo « the test tube » de David Suzuki, qui
explique de la croissance exponentielle d’une façon assez… directe! Plusieurs
ont été très alarmés d’entendre que nous étions déjà dans la 59e
minute. Pour ma part, j’avais déjà visionné le vidéo à quelques reprises, donc
j’étais préparé. En fait, mon choc cognitif a vraiment été devant le sentiment
d’impuissance que je percevais autour de moi. Je sais que le changement est
difficile et croyez-moi, je suis cynique! La fin du monde je l’attends déjà depuis
un très jeune âge! Par contre, à chaque fois que je vois ce vidéo ou que des
faits se présentent devant moi pour me rappeler combien le temps presse, ceci
ne fait qu’alimenter mon désir d’agir au plus vite (et de faire la révolution).
Oui il y a du chemin à faire et peut-être que nous perdons notre temps, qu’il
est déjà trop tard et que les gens aux pouvoirs sont égoïstes et inébranlables,
mais il faut quand même avoir la foi. Sinon, ben on n’a rien. Si nous ne
croyons pas en nous, en notre pouvoir de changer les choses, personne ne nous
croira et la vie continuera son cours normal.
N’oubliez jamais que chaque
petite action possède son lot de répercussions. Il faut commencer par celles-ci,
pour ensuite s’attaquer à nos communautés, à nos régions, à nos gouvernements,
pour finalement apporter les modifications nécessaires à notre société. Le
progrès est peut-être dangereux, mais l’inaction l’est plus encore d’après moi.
Si on attend l’hiver les bras croisés, on va mourir de froid c’est certain. Il
n’en tient qu’à nous et je crois que faisons un bon bas avec ce cours et nos
futurs engagements.
Sur ce, au lieu de finir avec une remarque marxiste et
dire « Prolétaires de tous les pays unissez-vous! », je fais
finir sur une de mes citations préférées.
THINK GLOBAL, ACT LOCAL.
On lâche pas la patate les boys, à plus
N.B.
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